19 août

Mes réflexions, mes poêmes, mes rêves, mes curiosités

Dans les pages comme ci-dessous et comme dans celles en liens à droite vous trouverez des textes que j'ai écrit reflétant mes idées, souvent une interprétation de mes rêves, quelquefois mes poemes et pourquoi pas de mes images ...

Mais comme je ne crois pas aux mots, pas plus qu'aux maux et bonheur, car tout dans notre univers spatio-temporel est le reflet d'une interprétation que notre génétique, nos expériences humaines, notre éducation nous a enseigné... alors rien de ce que j'écrirai ne peut prétendre à la vérité d'autant que ma seule foi est dans le droit d'ÊTRE pour la seule raison que l'on est et non pas pour ce qu'on fait.

Normand Marc Croteau

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26 novembre 2011,  5h am

Pourquoi craindre, de toute façon cette vie doit s'éteindre!

Pourquoi trembles-tu mon ange
Pourtant il n'est rien d'étrange
qui puisse m'éloigner de toi
je t'aime quoiqu'il en soit

Pourquoi pleures-tu cher ange
Et pourquoi toutes ces franges
Dont tu habilles ton corps
Je t'aime sans aucun effort

Tu peux bien craindre toutes les lois
Et tous ces gens que tu vois
Mais je portes déjà en moi
Tout ce que tu crains de toi
Je ne suis pas ici pour te juger
Je ne sus devant que pour t'aimer

Veux-tu dans mes bras faire taire
Toutes tes craintes de ne pas plaire
Veux-tu venir près de moi
Que je te prennes dans mes bras

Oublie tout ce qui transpire
De cette vie qui t'attire
À te reprocher d'être sans lois
Simplement viens près de moi

Ne cache pas ton visage
Avec tous ces faux mirages
De tout ce que tu as fait
Je ne vois pas ces méfaits

Dézippe tout ce qui t’habite
Et viens t'étendre dans ma joie
Nous voulons que ta lumière
Brille avec nous sur cette terre

Normand Marc, etre@envoix.com, 26 nov 2011

 

envoix@live.ca

http://envoix.com/en-voie/envoie-blog-haut-24_decembre2010.html

 

J'ai senti ton corps qui transpire, comme celui d'un humain qui craindrait le pire.  Et pourtant tu aurais pu sur cette terre ou ailleurs dans l'univers avoir commis le plus terrible des crimes que cela ne compte pour rien à mes yeux.  Tout ce que je veux est ce que tu veux: être pour toi comme tu es pour moi!   Mais dans ta détresse tu t'éloignes de moi;  tu mets entre nous, comme un mûr qui n'a ni porte ni fenêtre, cet amas de ta vie qui pourtant n'est rien qui puisse m'empêcher de t'aimer.  Tu aurais pu faire les pires crimes, que cela tu ne t'en souviendras pas après cette vie.  Tu aurais t'éloigner autant d'amis que d'ennemis avec ces méfaits, qu'ils ne s'en souviedront pas lorsque tu les reverras dans la lumière, là où nulle objet ni aucun fait ne pourra ternir ce que tu es essentiellement: un ÊTRE, un Verbe comme nous tous...  La vie dans l'espace-temps est éphémère. La matière comme la forme auquelle tu crois en ce moment ne pourra durer pour l'éternité. Ce ne sont qu'illusion comme l'espace qui sépare chacune de tes atomes,  comme la distance qui sépare les planettes de cet univers formel dans lequel nous nous amusons à nous retrouver et à nous limiter. Les souffrances qu'on y vit comme celle qu'on inflige y sont toutes aussi imaginaires  que le images que l'on peut se faire d'un dieu ou d'un ange:  un reflet de notre activé  neurologique pour se croire vivant; alors que nous sommes quoiqu'il en soit...