Mes réflexions, mes poêmes, mes rêves, mes curiosités
Dans les pages comme ci-dessous et comme dans celles en liens à droite vous trouverez des textes que j'ai écrit reflétant mes idées, souvent une interprétation de mes rêves, quelquefois mes poemes et pourquoi pas de mes images ...

Rêve du vendredi 14 sept 2012

J’ai fait un drôle de rêve cette nuit, digne d’un roman ou film d’espionnage.  Le fait de n’avoir pas pris ma médication d’une part, et d’autre part d’avoir mangé juste avant de me coucher a probablement été la cause de ce rêve.

Donc dans mon rêve j’ai vu un homme dans un corridor, sur un état de stress très évident qui se sentait poursuivit, mettre en joug ses assaillants.  J’ai vaguement mémoire que mon rêve commence alors qu’en se retournant, de son revolver il ait tiré tuant ainsi un premier homme. 
Peu après il sembla s’attarder, à un deuxième poursuivant. Or l’essentiel de mon rêve concerne l’observation de l’action vis-à-vis le deuxième assaillant.
Toute l’action sur le plancher d’un très large et grand corridor d’un édifice en hauteur.  Sans que je n’aie eu à m’y attarder, il me sembla que l’endroit était très éclairé par de grandes vitres d’un côté  et à son extrémité alors qu’à l’opposé était bordé d’un large mûr dont quelques rares portes fermées échancraient la rectitude.  L’endroit paraissait  quelque peu abandonné,  comme préparé pour des restaurations.
Le poursuivant, à travers lequel, maintenant,  il me semblait assister à l’action, mit en joug son deuxième assaillant afin de l’obliger à interrompre sa poursuite contre lui.  Ce dernier homme que je suis incapable d’identifier semblait ni trop grand, ni trop petit. Un homme mince qui, apparemment, affichait la démarche et le regard fuyant d’une personne ayant consommé une quelconque substance hallucinogène. Il s’interrompit en levant momentanément, presqu’hypocritement les mains dans les airs.   L’homme armé poursuivit,  lui fit alors des menaces sans tirer.  Il y avait non loin, entre eux, étalé au planché sur un drap de peintre, une boîte peu haute contenant entre-autre un plus haut et étroit récipient, rectangulaire en plexiglass rempli d’un liquide translucide. 
Faignant qu’il n’allait pas le tuer, il sembla l’obliger à retirer un de ses gants de chirurgies et à le plonger dans le contenant liquide du plexiglass dont la hauteur correspondait justement à peu plus que celle  de ce gant.  Puis, l’homme armé,  avant de s’éloigner, sembla s’assurer que le poursuivant n’avait pas d’autres armes et que ce dernier n’allait pas le poursuivre.  Et il laissa tomber son revolver, dont couleur argentée dénotait toujours la propreté du métal  dans le contenant liquide de plexiglass. 
C’est alors que je réalisai que le poursuivant semblait réellement drogué car il semblait manifester un état de stress dans son empressement pour récupérer ou le gant de chirurgie ou le revolver dans le liquide.  Sa main droite était enflée comme si le gant devait l’aider à contenir sa main d’une quelconque douleur d’enflure.  Mais ce dernier n’osait pas vouloir prendre le gant directement dans le liquide, sans doute par peur que ce n’eut été un solvant toxique.
C’est alors que le poursuivit revint sur ses pas pour récupérer le gant de chirurgie. Il semblait assuré que ce criminel avait  eu le temps d’y imprégner ses empreintes de doigts; et ce pour une raison que je ne connais pas.  De toute évidence le poursuivant accroupit semblait encore troublée par ses drogues tellement que sa concentration à vouloir récupérer ou l’arme ou le gant dans le solvant lui fit perdre l’attention du retour de l’homme précédemment armé.  Et je vis que les doigts de sa main droite étaient réellement très enflés, particulièrement à l’articulation menant au pouce droit. 
Pour le poursuivit, ou l’homme qui fut le premier armé, il semblait important de récupérer alors le gant dans le solvant, afin de s’assurer que les empreintes de doigts y étaient bel et bien marquées. 
Et là je me suis réveillé, cessant ainsi ma vision de la suite de la scène. 

Normand Marc,  vendredi 14 septembre 2012. Montréal

En effet j'ai revue cette après-midi une séquence de ma vie passée en une épopée baroque peu glorieuse ou je fus assassiné par 2 archés vêtus de toiles foncées alors que j'aurais dû être habilité à échapper à leur tire, mais en prétentieux que j'étais j'ai voulu pourfendre seul leur arrogance et me vis très tôt jisant hors de mon cheval , la cotte de maille toute luisante, ensanglantée quelque peu par le dar de cette flêche qui m'attent sous le sternum. J'étais atteint mortellement par ceux dont j'aurais voulu être aimé mais à qui, sans doute m'étais-je bien garder de leur faire connaître mon amour, trop emuré, armuré j'étais dans de l'enivrement que me procurait alors les apparences.

"O mort où est ta victoire..." redira le poète.

Normand Marc Croteau 
envoix@live.ca
Mais comme je ne crois pas aux mots, pas plus qu'aux maux et bonheur, car tout dans notre univers spatio-temporel est le reflet d'une interprétation que notre génétique, nos expériences humaines, notre éducation nous a enseigné... alors rien de ce que j'écrirai ne peut prétendre à la vérité d'autant que ma seule foi est dans le droit d'ÊTRE pour la seule raison que l'on est et non pas pour ce qu'on fait.